Voilà, c'est fini

Mais cela recommence ici...

http://400coupsdesdeuxfrerots.blogspot.be/

Avec de nouvelles aventures.

Et ne vous inquiétez pas, vous aurez encore de mes nouvelles.

La Bretagne partie 4

Petit florilège de photos de vacances. Le fin du fin.

Non, ceci n'est pas une photo de mode pour la prochaine collection été d'une marque de prêt à porter.

Ceci non plus... C'est mon attirail pour aller faire du canot sur l'étang du village gaulois. Vous savez, ce village d'irréductibles gaulois qui résistent à l'envahisseur...

Il leur fallait un nouveau chef. J'ai cédé à leurs suppliques. Je suis comme ça, parce que je le vaux bien.

Mais je me suis cassé en douce dans un tonneau de potion magique.

Portrait à bord du petit train Paimpol-Pontrieux.

La fin du trajet retour. Rien n'est plus accueillant que maman et petit frère en guise de coussin.

La dernière plage.

Et mon premier hamburger.

Le tout courronné d'un bon petit dessert. Ce n'est pas grand-papa qui me contredira.



Voilà, vivement l'année prochaine, avec ... chut, c'est encore un secret, il s'appelle petit frère. Je n'ai pas le droit d'en dire davantage.

Activités estivales

Je sors de mes archives une petite visite à une fête de la moisson à l'ancienne. Vieux tracteurs, cochonailles, produits bio, glaces crémeuses à souhait... Du pur bonheur.

J'aurais tant voulu monter dessus en vrai...

Visite enchanteresse

Voici quelques semaines, c'étaient les Honnelles en fête. L'occasion de visiter L'Appui (un centre "spécialisé pour adultes", comme le veut le politiquement correct), car l'endroit est sublime, paisible, fantastique, tout comme l'accueil. D'ordinaire papa se régale à contempler le potager, mais l'incendie des étages de dortoirs a beaucoup ralenti les choses. Mais cela valait la peine quand même.

Coins et recoins de balade avec la meilleure maman du monde (c'est moi qui le dis).

Un petit côté Alice au pays des merveilles.

Et de grands messieurs, entre autres.

Comme je l'ai dit à papa, "il avait beaucoup soif, Georges". Et... non, Georges, on ne t'en veut pas. On reviendra l'an prochain.

Journée de rêve

Après une nuit dans ma nouvelle chambre presque finie, nous sommes partis, direction le cinéma... rien de moins.

Puis resto chinois.

Et enfin, journée portes ouvertes chez les pompiers de Dour. Accidents, incendies, déflagrations. Et je bouche mes oreilles, comme on me l'a demandé.

Puis le pied, c'est d'aller sur les camions de pompiers.

Et de bouder devant le photographe.

A mon avis, autant de gentillesses, cela cache quelque chose.

La Bretagne partie 3

Des plages de sable fin, il y en a. On se partage le travail avec papa, il construit des châteaux et moi, je les détruis.

Puis je pose un instant, entre deux tremblements de terre.

Un grand moment émouvant. Mon premier far breton. Et pas le dernier.

You are the new lobster Sharif. Quel malpoli, il n'a même pas répondu à mon bonjour. Allez, hop, au bain...

Petit havre de paix à Caouennec, le Vert de Terre, un agriculteur qui ouvre ses plates-bandes aux consommateurs afin qu'ils viennent eux-mêmes cueillir légumes et fruits. Les fraises et les framboises, du plant au gourmet... c'était dur de les déposer dans le ravier, et hop! derrière la cravate.

Ce à quoi vous avez échappé

Maman m'a dit que mon petit frère ne s'appellerait pas Jean. Pourtant, c'est le prénom que je répète le plus souvent. Il semblerait que l'on échappe à Casimir, Séraphin, Hippolyte ou Gatien. Théophraste n'est plus au programme non plus, comme Nestor ou Firmin.

Ici je me rends au mariage de la puéricultrice. Une sacrée surprise. Mais j'ai beaucoup apprécié sa grande voiture, pleine de chrome.

Pairy Daiza. Un crocodile docile.

Mon look à la Charlie Winston. Sur mon nez, la trace de l'usure de l'étiquette de mon doudou. Dingue, non?

Manège à l'ancienne dans une fête de village, à Montreul-sur-Haine.

La Bretagne partie 2

Nous voilà arrivés à Caouennec. Je suis là tout au fond. Le gîte est à gauche.

Et là, c'est Yaël. On a vite sympathisé, mais il a fini par partir en vacances lui aussI Heureusement, il m'a laissé quelques-uns de ses jouets.



Et direction les gros cailloux. (Hey, Julie, j'en ai ramassé quelques-uns, j'espère qu'ils te plairont)

Et la plage. C'est encore loin, grand schtroumpf ?

La Bretagne partie 1

En route, sur une croûte. C'est parti. Halte à Sainte-Marie-Outre-l'Eau. Un gîte d'une grande beauté avec une proprio d'exception.

Je prends possession du divan. C'est un "1 place" à vue de nez, le divan. Que pour moi. Et direct en face de... devinez quoi? La télé.

Anniversaire

J'ai trois ans. Et je lève très haut mes doigts, 2, 3, 5, peu importe. J'arrive aussi à lever l'index et l'auriculaire tendus avec papa. Et je frappe du poing avec marraine et j'en tape 5 avec cousin... Je me demande parfois si on ne me prend pas pour un singe savant...

Portrait groupé. Avec pouce.

Débriefing du portrait groupé. Avec pouce. Marie trouve que cela suffit. Je suis d'accord.

Hey mamy, tu me tiens beuacoup trop haut, comment veux-tu que je souffle la bougie ? A ce rythme-là, on est encore ici demain.

Gpa et Gma qui essaient de temporiser, mais moi, j'ai envie d'ouvrir la boîte, et tout de suite.

Fêtes Henry IV

D'abord savoir où on se trouve. J'ai repéré le drapeau anglais pour l'afternoon tea, et je tiens bien le plan à l'endroit. J'ai envie d'être sûr qu'on se trouve sur le passage du cortège.

Ouais, visiblement, le cortège arrive. OK, je dois dire "oui", mais je n'y arrive pas toujours.

Je me mets dans cet état pour...

ou pour...

Peu importe c'est toujours le moment de s'en payer une bonne tranche en faisant le joli coeur.

Dour Music Festival 2012

On a déjà eu droit à mes bouchons d'oreilles...

Voilà à quoi nous ressemblions en rentrant dimanche après-midi après Sexion d'Assaut... (hum, moi, je disais que j'aimais bien, mais c'est mon papa qui a saturé).

Mais cela en valait la peine. Et j'étais le plus jeune avec un bracelet officiel. Alleï, une autre... Et j'y retourne l'an prochain, si Carlo veut bien.

Petit concours

C'est assez connu, voici une lettre (en anglais) adressée à un instituteur... mais par qui?

He will have to learn, I know, that all men are not just, all men are not true.
But teach him also that for every scoundrel there is a hero;
that for every selfish politician, there is a dedicated leader...
Teach him for every enemy there is a friend,


Steer him away from envy, if you can, teach him the secret of quiet laughter.


Let him learn early that the bullies are the easiest to lick...
Teach him, if you can, the wonder of books...
But also give him quiet time to ponder the eternal mystery of birds in the sky,
bees in the sun, and the flowers on a green hillside.


In the school teach him it is far honourable to fail than to cheat...
Teach him to have faith in his own ideas,
even if everyone tells him they are wrong...
Teach him to be gentle with gentle people, and tough with the tough.


Try to give my son the strength not to follow the crowd
when everyone is getting on the band wagon...
Teach him to listen to all men...
but teach him also to filter all he hears on a screen of truth,
and take only the good that comes through.


Teach him if you can, how to laugh when he is sad...
Teach him there is no shame in tears,
teach him to scoff at cynics and to beware of too much sweetness...


Teach him to sell his brawn and brain to the highest bidders
but never to put a price-tag on his heart and soul.
Teach him to close his ears to a howling mob
and to stand and fight if he thinks he's right.


Treat him gently, but do not cuddle him,
because only the test of fire makes fine steel.
Let him have the courage to be impatient...
let him have the patience to be brave.
Teach him always to have sublime faith in himself,
because then he will have sublime faith in mankind.


This is a big order, but see what you can do...
He is such a fine fellow, my son!

Dans la guedouw...

Comme dirait Jane Birkin, la guedouw, la guedouw, la guedouw... mais où ça?

Du Festival de Dour, pardi.
Comme vous pouvez le constater, très sagement, j'ai mis mes bouchons... Et je n'y ai quasiment pas scaffoté.

Papa a essayé de me faire écouter du reggae, mais je n'ai pas du tout accroché, un truc nommé Rod Taylor and the Positive Roots Band... question "positive", j'ai pas trouvé, et quand papa a proposé de changer de crèmerie, je lui ai dit "ça, c'est une bonne idée, papa"... Alors, on a pris la direction de la Cannibal Stage. Je rassure tout le monde, à la Cannibal Stage, on ne mangeait personne.

Je me suis ré-ga-lé... avec un groupe de Hollandais qui remuaient de la tête et des pieds tout en sautant en rythme (?!)... Textures Awake
 Puis, j'ai senti que j'avais bien fait de garder les bouchons... Textures Singularity

De retour dans la section VIP, j'ai essayé d'appeler Marc Lavoine, le chouchou de maman, ou (à défaut) marraine, car Sexion d'Assaut allait passer sur la Main Stage et il fallait à tout prix empêcher cela. Peine perdue. Ils ont joué quand même.

Balade en Champagne

Quelle joie d'arriver au sommet de l'escalier... un petit pas pour l'humanité, mais un grand pas pour moi.

Vu que mon papa a changé d'appareil photo, le reste du week-end en Champagne aux Fêtes Henri IV suivra... selon son bon vouloir.